Chers tous, c’est Noël.
Nous avons fait une grande grande fête ce week-end à Charlieu avec tout le côté Semay de la tribu au sens large. Dominique et Bernard s’étaient pliés en six, la maison brillait de mille feux, la joie était dans tous les cœurs. Un vrai, grand, beau Noël, comme ceux qu’on a la chance de vivre quand tout le monde va bien, quand il ne manque personne, quand la famille est en paix.
Nous allons faire une grande grande fête ce soir à Essert avec (presque) tout le côté Gaydon de la tribu au sens large. Papi et mamie sont pliés en six, la maison brille de mille feux, la joie est dans tous les cœurs. Un vrai, grand, beau Noël, comme ceux qu’on a la chance de vivre quand tout le monde va bien, quand il ne manque personne, quand la famille est en paix.
Je ne vous envoie pas d’images de ces bons moments. Non. Car vous connaissez le paradoxe de ces fêtes de fin d’année n’est-ce pas… A la fois, tant de joie pour certains, à la fois, tant de peine pour d’autres. Et en fait, un peu les deux pour tout le monde, car nous avons tous déjà passé des Noël sombres, et nous savons tous à quel point cette Lumière de Noël est précieuse et fragile.
En fait, ce que j’ai dans mon cœur aujourd’hui, c’est un sentiment en trois parties : à la fois un merci, une frustration, et une mission. Merci à la Vie, merci à vous tous, famille, amis, amis d’amis, professionnels, qui savez La rendre si belle autour de vous. Frustration de l’impuissance à faire de Noël une grande grande fête pour tous. Et mission de faire comprendre à nos enfants, au plus profond d’eux-mêmes, cette si précieuse et si fragile Lumière de Noël.
Marion Curtillet a formulé ces vœux pour Noël, ils ressemblent fort aux miens :

