
Vous l’aviez senti venir, n’est-ce pas ? Oui, nous aussi. Pas loupé… Hier la journée a été compliquée, on a repoussé l’échéance autant qu’on a pu sur la soirée, et puis à 23 heures, ça n’a vraiment plus été possible. Il a fallu appeler les pompiers et tout le tralala pour nous retrouver aux urgences où là ça n’allait pas du tout du tout. Genre l’oxygène qui monte, qui monte, et la sat qui baisse qui baisse, vous voyez le tableau ?
Pour finir, elle s’est quand même stabilisée, et on a pu être transféré à la réa pédiatrique, comme d’habitude. « Ah ! Qu’est-ce que vous faites là ? » « On a vu de la lumière… » 🙂
Joséphine a eu tous les examens nécessaires, et au final :
- On remet les diurétiques au niveau du mois d’août
- Elle a probablement attrapé un virus qui n’arrange rien est est venu déclencher la crise (fièvre, nez bien pris).
Le temps que le changement de traitement fasse effet, et que le virus aille voir ailleurs si on y est, on est pour quelques jours à l’hôpital disons. Olivier l’a quittée ce soir avec 2,5 litres d’oxygène, on n’a pas vraiment pu baisser pendant la journée. C’est bof bof. Ca ira mieux demain.
Est-ce qu’on est content d’être de nouveau à l’hôpital ? Franchement non. On n’avait pas du tout, du tout, du tout envie d’y retourner. On trouvait notre vie à la maison SUPER CHOUETTE et au-delà de ça, je dirais qu’avec tout ce qu’on a vécu là-bas cet été, s’y retrouver fait remonter beaucoup de choses qu’on préférerait avoir oubliées…
Heureusement, l’équipe est toujours aussi top de top, Christine la kiné est toujours là, on a vu aussi Alexandra la psychomot qui est venue bavarder un petit moment cet après-midi, et toutes ces belles personnes rendent le séjour supportable, et même, une fois la déception passée, agréable. Oui, agréable. Elles ont un pouvoir magique !

Ce ne sont pas les seules. Il y a aussi Marie-Pierre, Monique, Bernard et Dominique, qui se sont tout de suite mis en mode « dispo » pour gérer le reste de la troupe. Et vous tous qui suivez nos aventures et nous portez dans vos pensées et votre cœur. Si vous saviez comme c’est merveilleux de vous avoir autour de nous !!! Comme ça rend tout plus simple, plus léger, plus beau. Vous nous donnez la force et le courage, vous nous portez sur vos épaules.
A tous, un grand, grand, grand, MERCI !
Et Joséphine, allez, c’est reparti. Tu connais la chanson : on inspire, on expire. On inspire, on expire. On inspire, on expire. Voooiiiiilllllllààààà. Comme ça !

Plein, plein de pensées pour Joséphine, sa maman et toute la famille…
Un petit tour à l’hôpital juste pour voir et se dire qu’on est si bien à la maison et qu’on va y retourner dare-dare !
Bisous
Bon, elle a encore besoin de se fortifier un peu pour supporter les virus… Ca va le faire, allez Joséphine !!!
Nos prières continuent pour Joséphine et vous! Que Marie la berce tendrement et l’aide à respirer à nouveau!
Nous sommes par la pensée avec Joséphine, vous et toute votre famille. Nous vous souhaitons bon courage et vous embrassons.
Et bien, Joséphine, que se passe-t-il? On avait presque oublié que des accrocs comme celui-ci n’arriveraient plus. Et, comme d’habitude, tu as bien encaissé et tu repars courageusement. Bien sûr, il y a des médicaments, les tuyaux de toute sorte, les kiné, infirmières et, évidemment, papa et maman. Mais c’est toi qui donne l’impulsion et tout le monde te suit. Allez, petite Joséphine, on va de l’avant! Je pense beaucoup à toi et je t’embrasse bien fort.
Joséphine tu es une vraie battante alors. Comme toujours
Reprend vite toutes les bonnes énergies et forces dont tu as besoin pour ton confort
Doux baisers et plein de bonnes choses à Maman et Papa
J’ai suivi les événements sans avoir eu le temps de commenter (bien occupé par la maison) : la tribu Semay qui anime les réjouissances de Charlieu et puis la mise en ordre de marche pour la rentrée des petits et grands, Joséphinet e qui a aussi sa partition avec la maîtrise du respirateur/oxygénateur et puis le couac dû à une sale bestiole qui passait par là…Joséphine en a vu d’autres et ses parents également…On reprend au moment où tout l’ensemble est à la maison. Grosses bises Joséphine à distribuer à la fratrie. Amitiés. Gilles